Grâce à son rayonnement culturel, la
robotique a même trouvée sa place dans le monde du travail. La
robotique industrielle est officiellement définie par l’ISO
(Organisation Internationale de Normalisation) comme un contrôle
automatique, reprogrammable, polyvalent manipulateur programmable
dans trois ou plusieurs axes
Une chaîne de montage Citroën (larousse.fr) |
On distingue ainsi dans la robotique
industrielle les automates des autres robots : L’automate est
une machine programmée pour effectuer une tâche précise dans un
environnement donné. Ce premier type ne nécessite pas
l’intervention de l’homme et n’a pas l’apparence humaine
contrairement à d’autres robots comme les humanoïdes.
L’objectif premier des robots
industriels est le même que celui des robots en général,
c’est-à-dire remplacer l’homme dans les taches pénibles ou à
risques (objets lourds, environnements nocifs…). L’exemple le
plus connu de robotique industrielle est la chaine de montage
automobile, où les humains sont secondés par les robots et vis
versa. Les employés sont même complètement remplacés en peinture,
soudage et emboutissage, car les robots ne provoquent pas les coûts que les hommes, car ils ne demandent aucun salaire, assurance et autres services, mise a part un entretien; ce qui créer bien souvent des suppressions d'emplois et donc une pénurie du travail dans l'industrie. Les robots industriels les plus célèbres sont
l’Unimate (voir article précédent) et le Kuka Famulus.
Le Famulus, Robot industriel de KUKA,
est le premier robot industriel à 6 axes électromécanique.
Daphné S.
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